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Selon le président du Conseil politique national de l’Alliance pour le changement, “À aucun moment, il n’en a été demandeur, encore moins preneur”. Cette clarification vise à dissiper les malentendus entourant les circonstances de la libération de KABUND, qui a eu lieu suite à une procédure légale.
Ghislain MWANJI a précisé que “la libération du président Jean-Marc Kabund est intervenue exclusivement à la suite d’une requête en révision de son procès”.
Il a également souligné que “l’acte juridique ayant permis sa sortie de prison est un mandat d’extraction émis par le Procureur général près la Cour de cassation”, ce qui contredit les allégations d’une grâce présidentielle.
MWANJI a insisté sur le fait que ce n’est pas “un quelconque arrêté ministériel d’exécution d’une grâce présidentielle”. Il a ajouté que, d’ailleurs, “aucun gracié par ordonnance présidentielle n’a encore été libéré”, renforçant ainsi la position de son parti sur les procédures judiciaires en cours.
Enfin, l’Alliance pour le changement a affirmé que “Jean-Marc KABUND n’a jamais envoyé d’émissaire auprès du président Félix-Antoine TSHISEKEDI ou de toute autre autorité du régime actuel”, soulignant l’indépendance de KABUND dans cette affaire.
Cette déclaration vise à mettre un terme aux spéculations et à clarifier la situation entourant la libération de Jean-Marc KABUND, tout en réaffirmant la position de l’Alliance a le changement dans le paysage politique actuel.
RMK
