Cependant, la situation reste complexe. Des groupes tels que les Wazalendo ont exprimé leur désaccord avec le communiqué, affirmant ne pas se sentir concernés et souhaitant poursuivre leur lutte jusqu'à la libération totale des zones occupées par le M23. De plus, des préoccupations subsistent concernant l'insécurité dans les zones contrôlées par le M23, notamment à Goma et Bukavu, où des violations des droits humains ont été signalées.
Leroi SUMAIDI