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Des revendications alarmantes
Selon les travailleurs en colère, l’entreprise accumule :
8 mois d’arriérés de salaire,
2 mois de non-paiement (janvier et février 2025),
Une absence d’accès aux soins médicaux,
Une mauvaise gestion du comité de direction.
Face à cette situation qu’ils jugent intenable, ces employés appellent la présidence de la République à intervenir rapidement pour éviter une paralysie prolongée du service et préserver l’entreprise d’un effondrement total.
Un service essentiel à l’arrêt
TRANS-ACADEMIA, créée pour faciliter la mobilité des étudiants à travers la capitale, est un service public vital. Cependant, les grèves à répétition et les difficultés financières de l’entreprise posent un sérieux problème aux milliers d’étudiants qui en dépendent quotidiennement.
Cette grève risque donc d’impacter la rentrée académique et le quotidien des étudiants, déjà confrontés à des défis majeurs en matière de transport en commun.
Un appel au gouvernement
Les travailleurs demandent non seulement le paiement immédiat de leurs salaires, mais aussi une restructuration de la gestion interne afin d’assurer une meilleure transparence et efficacité.
En attendant une réaction des autorités, les bus TRANS-ACADEMIA resteront à l’arrêt, laissant les étudiants dans l’incertitude et renforçant la pression sur le gouvernement pour une solution rapide.
Affaire à suivre…
Ali Haddad
