Alors que les uns dont la plupart du pouvoir disent énergétiquement OUI, certains semblent jouer à l'hypocrisie dans cette majorité et plusieurs autres dans l'opposition disent NON à l'unanimité.
Plusieurs entrevoient différentes méthodes pour manifester leur mécontentement vu qu'il trouve que TSHISEKEDI qui a combattu pour la non révision de la constitution ne peut pas revenir pour être initiateur de la même révision qu'il a totalement rejetée sous Kabila.
Plusieurs vidéos fuitent dans les réseaux sociaux montrant l'opposant TSHISEKEDI dire prêt à militer par tous les moyens même illégales pour dire non à la révision de la constitution.
Même si le grand souci reste le recadrage et l'actualisation de la constitution au regard des réalités actuelles, plusieurs soupçonnent l'actuel président de vouloir s'éterniser au pouvoir en faisant une constitution taillée à sa mesure.
TSHISEKEDI fils est accusé d'individualiser le besoin de la révision de cette constitution vu que même l'annonce ne reflète pas la transparence.
Certains mécontents pensent déjà à une balkanisation au cas où la constitution est révisée sur mesure et non pour l'intérêt de la nation.
Cette opinion véhiculée dans les réseaux sociaux devient l'idée maîtresse qu'épousent plusieurs natifs et politiques du KATANGA par exemple qui ont déjà cédé à cette pensée, eux qui ont déjà dit NON à la révision de la constitution par le régime de TSHISEKEDI qu'ils traitent de chaotique.
Cependant, le camp du pouvoir fait voir les insuffisances de la constitution et dit vouloir y revenir pour le bien de la nation.
En attendant la situation sociale est décriée sur terrain. Les enseignants pérennisent encore la grève dans certains coins et les élèves sont même descendus dans la rue pour réclamer leur droit à l'éducation.
TSHISEKEDI est-il conscient de cela?
Rédaction
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