Genocost 2024 : l'ASBL "NOTRE CONGO" condamne le crime, denonce la complicité extérieure et fait des recommandations pragmatiques

02 Août 1998-02 Août 2024, 26 ans d'une guerre d'agression qui n'a que trop durée. 
Plus de 15 millions de morts, des millions des femmes violées et violentées, des vrais criminels courent encore dans les rues.

Pour ce faire, NOTRE CONGO, une plateforme des patriotes congolais, n'est pas resté sans mots à cette occasion. 
A travers un communiqué, cette ASBL a levé le ton dénonçant le mal.

"Nous dénonçons la complicité de la communauté Internationale qui depuis des années ne fait rien pour mettre fin à ces tueries dont les auteurs sont connus mais non punis.", lit-on dans le communiqué dont une copie a été envoyée exclusivement à la rédaction de www.kitinfos.com ce vendredi et signée par son président John Jesse Numbi Kabeya.

Avec rationalité, la plateforme NOTRE CONGO fait des recommandations pragmatiques aux acteurs et décideurs.

"Au gouvernement, d'user de tous les moyens tant diplomatiques que militaires pour mettre fin aux tueries qui sévissent à l'Est, d'encadrer les FARDC avec des moyens nécessaires pour leur permettre de protéger l'intégrité territoriale, de mettre en place un mécanisme de prise en charge des victimes de cette ignoble guerre; de proclamer la date du 02 Aout comme une journée pour la Patrie. (Journée férié)", poursuit le communiqué.

À la population Congolaise, NOTRE CONGO recommande l'auto prise en charge, comme le dit le testament de Mzee L.D. KABILA : "Prenez vous en charge".

La communauté internationale n'est pas dispensée des recommandations.
Il lui est demandé de prendre des résolutions pour contraindres les pays, cités dans les rapports de l'ONU comme agresseurs, à quitter le territoire de la RDC; de condamner les crimes de guerre et de soutenir la RDC dans cette guerre injuste lui imposée par ses voisins.

Pour finir, NOTRE CONGO de John Jesse Numbi Kabeya invite les politiciens Congolais de privilégier la voie du dialogue pour régler nos différents au lieu de la Guerre qui endeuille les Congolais.

Rédaction

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