Ministère du portefeuille : Jean-Lucien BUSSA Tongba prend langue avec les autorités de Lignes Maritimes Congolaises


Quelques jours après l'investiture du nouveau Gouvernement de la RDC, une première rencontre entre le Ministre du portefeuille Jean-Lucien BUSSA Tongba, les membres des Conseils d'Administration et les Directeurs Généraux Adjoints des entreprises du portefeuille a eu lieu mardi 18 juin 2024 à l'Hotel Hilton, de Kinshasa.

Une prise de contact qui a permis aux Responsables de ces entreprises publiques de saluer l'arrivée de leur nouvelle autorité de tutelle et d'exprimer l'esprit de collaboration qui les anime.

Il était aussi question pour le nouveau Patron du Portefeuille d'effectuer un état de lieu du secteur placé sous sa responsabilité.

Présent audit rendez-vous, LMC était représenté par le Directeur Général de Lignes Maritimes Congolaises (LMC) SA, Jean-Claude MUKENDI MBIYAMUENZA qu'accompagnaient le DGA Gisèle MBWANSIEM MUPA et l'Administrateur Patrick MANGAY MUNVUNGA.

Le Patron du Géant des mers considère les échanges auxquels il a activement participé comme étant fructueux. Il apprécie également les initiatives de son Excellence Jean-Lucien BUSSA qui a, à cette occasion, démontré sa détermination pour l'épanouissement de son secteur.

"Nous sommes venus présenter nos civilités au nouveau ministre du portefeuille, deuxièmement lui présenter l'état des lieux de LMC sa avec le plan de relance qui se résume en l'affirmation de Lignes Maritimes Congolaises SA dans son rôle d'Armement d'État, de transporteur maritime et multimodal du commerce extérieur. Autrement dit nous avons besoin de l'acquisition des navires en propre, la construction des espaces de stockage, ports secs et parc route, l'ouverture des nouvelles lignes, l'achat des trucks que nous avons à présenter à notre ministre du portefeuille", a souligné Jean-Claude MUKENDI MBIYAMUENZA, numéro Un du Géant des mers.

Ayant recueilli les principales doléances, Jean Lucien BUSSA s'est engagé à pouvoir mener un plaidoyer afin de revoir la situation de ces entreprises de l'État, à travers un moratoire qui résoudrait définitivement leurs problèmes.

Rédaction 

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