Ministère des mines : FOMIN et CAMI font l’état des lieux de leurs activités à Kizito PAKABOMBA

Déterminé à redorer l’image de son secteur, le ministre national des mines Kizito PAKABOMBA après avoir échangé avec les cadres de l’Administration des mines lundi dernier, a entamé ce mercredi 19 juin une série d’échanges avec les responsables des différents services spécialisés des Mines.
Ces échanges, effectués ce jour à l'hôtel du gouvernement, ont porté sur l’état des lieux des activités, les défis et les urgences desdits services.

Composée du Président de Conseil d’Administration, Léon MUBIKAYI, du Directeur Général Faustin BIRINGANINE et du Directeur Général Adjoint Bia DELOPO Paul, la délégation du FOMIN, ayant eu le privilège d'être reçue en premier, s'est fait le devoir de faire son était des lieux du fond avec détails.

Sans repos, Son Excellence Monsieur le Ministre des Mines Kizito PAKABOMBA, qu'accompagnait de son Vice-Ministre Godard MOTEMONA, a été en face à face avec la délégation du Cadastre Minier conduite par le Président du Conseil d’Administration avec dans sa suite le Directeur Général du Cadastre Minier MABOLIA et le Directeur Général Adjoint.

Dans leur entretien, il était question de faire l'état des lieux de la situation du Cadastre Minier depuis sa création jusqu’à ce jour. 
Le Président du Conseil d’Administration a parlé des directives de la création du CAMI tout en rappelant que c’est depuis 2023 qu'aucun organe n'a été mis en place dans ce service. Cependant la nomination de conseil d’administration a fait que le Cadastre Minier puisse avoir pour la toute première fois un organe de conception.
 
Le Directeur Général du CAMI, MABOLIA, a profité de l'occasion pour montrer aux nouvelles autorités du Ministère des Mines les défis à relever par son service, dont l’assainissement du fichier cadastral, la situation financière et administrative. 

Le ministre Kizito PAKABOMBA, à son tour, a donné quelques directives à améliorer dont la transparence, l’équité et l’objectivité dans le traitement du cadastre minier, car ce dernier est la porte d’entrée du secteur de tout opérateur minier qui veut venir œuvrer en République démocratique du Congo.

Rédaction

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