Cependant certaines voix se sont levées bien avant le lancement pour dénoncer ce qu'il traiterait de violence quant à la surveillances de la session des examens d'État.
Selon certaines indiscrétions, les éléments dénoncés "Forces de progrès" sont commis comme contrôleurs des épreuves.
La grande crainte dans cette opération, selon ceux qui ont dénoncé anticipativement, est la favorisation de la corruption à une échelle exagérée.
Les mêmes sources parlent aussi de la proposition de certains agents des gouvernorats et assemblées provinciales comme surveillants avec risque d'accentuer la fraude.
Les sources citent l'exemple de Kinshasa à Mont Amba où plus de 250 jeunes qui appartiendraient à la force du progrès se seraient fait passer pour des recommandés du parti présidentiel.
Cette surveillance sera-t-elle à la hauteur ?
Rédaction
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