Pour mettre fin à la corruption et prédation des finances publiques dans les différentes institutions et entreprises de l'État, le Président de la République Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO a remis l'IGF sur pied et a mandaté Jules ALINGETE dans une l'ordre responsabilité au service de la Nation.
Depuis lors, l'organe régulateur des services publics s'agissant de la gestion des finances, n'arrête pas sans relâche de poursuivre et surtout traquer les prédateurs des contribuables congolais. Dernièrement, des rumeurs circulaient selon lesquelles, Jules ALINGETE et l'IGF bloquaient la paye des agents ey fonctionnaires de l'Etat.
Dans ce contexte là, l'Inspection avait établi des patrouilles longues dans les entreprises publiques pour s'assurer de la bonne gestion de fonds alloués par le Budget de l’Etat, des bruits de couloir qui ont été interprétés comme un blocage alors que ça n'en était pas le cas.
La présidence et l'IGF se valent bien, car ensemble, ils ont réussi à mettre la terreur et l'effroi dans le camp des mandataires publics et d'autres autorités par rapport à l'utilisation de deniers publics surtout avec le contrôle à priori déjà installé au niveau de l'entreprise et qui en suit la traçabilité des finances délaissés par le pays.
En outre, le peuple ne doit pas être dérouté quant au combat noble et efficace mené par Jules ALINGETE et toute sa ribambelle, il doit offrir à l'IGF toute sa pleine confiance ainsi que de l'accompagner d'une manière ou d'une autre dans ce combat.
L'émergence et le développement durable de la République tirent leur socle d'un bon encadrement des finances publiques, d'une mobilisation des recettes efficiente, pour ce faire, une IGF forte et efficiente apporterait des réponses ou solutions utiles.
Josué LELO
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