Cette opération, débutée depuis le 30 mai tard dans la soirée, aurait été étouffée par une messe noire tôt le matin du vendredi 31 mai.
Les contestataires entre autres l'ACP de Gentiny NGOBILA Mbaka, les ressortissants du Maniema, le regroupement d'Eliezer Ntambwe, la communauté du grand Bandundu... reprochent le non respect de la non représentativité à ce gouvernement.
Sans trop attendre, les élus du Maniema ont exprimé leur déception via une déclaration rendu publique où ils réclament de place au sein du gouvernement.
La violation du principe du nombre de députés (10 députés nationaux pour un ministère) influençant ainsi la possibilité d'acquisition d'un ministère fait également partie des revendications.
Ainsi certains regroupements répondant à cela n'ont pas eu de poste ministériel, contrairement à d'autres n'ayant pas atteint le seuil.
A tout cela s'ajoute la probité morale et professionnelle, la camaraderie et le népotisme qui sapent la notoriété du gouvernement tant attendu impatiemment par les congolais.
La présente situation ouvre la voie à une nouvelle zone de tempête dans le sphère politique congolaise pouvant conduire à des graves renversements de situation.
En attendant, la date de l'investiture du nouveau gouvernement devient hypothétique.
Pour les observateurs, l’Union Sacrée pour la Nation reste un regroupement politique sujet à une rupture...
Rédaction
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