Embouteillage à Kinshasa : à l'absence des solutions idoines, les activités commerciales handicapées

Rouler sur les artères de la ville de Kinshasa est devenue un véritable casse-tête pour les automobilistes au quotidien. Dans certains tronçons routiers, les embouteillages sont quasi-permanents.

Les bureaux administratifs sont quasiment vides, les commerces sont handicapés vu l'arrivée tardive des agents.
Chose grave, nombre des routes secondaires, aidant à désengorger les artères principales et fluidifier la circulation, ne sont pas réhabilitées.
Un autre problème c'est le sens du flux circulatoire qui converge vers Gombe le matin et de Gombe vers les autres communes le soir.
Il y a de quoi déplacer certains services étatiques de la Gombe vers ailleurs.

Ces embouteillages gont que les Kinoises et Kinois soient confrontés au problème de hausse du prix de transport en commun sur plusieurs axes de la ville ainsi que la pratique demi-terrain qui a refait surface depuis la dernière crise du carburant. 

Les conducteurs qui assurent le transport en commun ne s’empêchent de doubler ou de tripler le prix d’une course. Et pourtant, le prix du carburant à la pompe n’est pas revu à la hausse.

Cette situation a eu de l'équilibre le lundi suite aux événements malheureux qui se sont déroulés le dimanche 19 mai au palais de la nation et à la résidence de Vital Kamerhe.
La circulation était fluide à Gombe et ses environs, mais pour combien de temps s'interrogent les observateurs...

Rédaction

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