pousse la justice à mettre le cardinal Ambongo dans son viseur.
Fridolin Ambongo est reproché d'accuser le régime Tshisekedi de mauvaise gouvernance.
« La justice est la première instance à bafouer les droits des simples citoyens et nous tenons ici des discours comme si nous étions forts. La réalité est que le Congo n’a pas d’armée », avait-il, entre autres, déclaré.
En outre, il lui ait reproché d'avoir accusé le gouvernement d'avoir armé la milice Wazalendo au désavantage de l'armée régulière.
C'est ainsi que dans une lettre devenue virale dans les réseaux sociaux, la cour de cassation a entrepris une ouverture d’une information judiciaire à charge du Cardinal Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa pour «faux bruits, incitation à la révolte et attentats contre les vies humaines».
Le procureur général de Kinshasa-Matete est menacé de complicité et déni de justice en cas d’inaction.
Plusieurs politiciens congolais s'attaquent au régime en place de manigancer le coup derrière la justice pour instaurer la dictature.
Martin Fayulu accuse le pouvoir en place de prendre une déviation progressive, incontrôlée et dangereuse pour la République.
Rappelons que c'est une première depuis l'indépendance qu'un Cardinal de l'église catholique est interpellé par la justice en RDC.
David PANZU
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